« Lov’eza yo », découvrez la critique musicale proposée par un scientifique, auteur-compositeur discret, sur ce titre emblématique du dernier album de l’artiste KARMAPA, désormais en vente.
Voici les informations concernant cette analyse musicale scientifique.
Entraîné sur des données jusqu’en octobre 2023. Le titre principal du nouvel album du Karmapa est désormais accessible.
Dix ans après Caligula, l’artiste emblématique de la rumba traditionnelle fait son retour avec un nouvel opus comportant une dizaine de morceaux, incluant le titre principal « Lov’eza yo », qui est accessible sur toutes les plateformes depuis quelques jours. Il a fait cette annonce officielle lors d’une émission diffusée le dimanche 17 novembre 2024 sur la chaîne nationale.
Voici un passage de la critique musicale proposée par un scientifique, également auteur-compositeur de manière discrète :
« Un son surprenant qui se distingue, un attachement renouvelé à la rumba et une fidélité à la qualité de la vidéo. »
L’harmonie est impeccable entre les instruments employés, avec une prédominance de la guitare acoustique espagnole et du saxophone afro-américain qui vous transporte à La Havane, traverse Madrid et New-York, le tout sans autre passeport que votre écoute attentive de cette composition d’une grande qualité.
Les percussions, quant à elles, rappellent le Royaume Kongo, lieu de naissance de la rumba, à l’époque où les bals étaient rythmés par la danse du nombril connue sous le nom de « Nkumba ».
À partir de la 49e seconde, le chant en lingala s’invite, une langue qui se prête parfaitement à la sensualité des mélodies qui émoustillent l’âme et font bouger le corps. Le premier terme à être articulé est « bolingo », qui signifie l’amour.
Avec sa voix brisée, le roi, fidèle à son style d’écriture, rappelle aux couples que le partenaire est à la fois le sujet, l’objet et la destination de leur affection profonde. L’artiste offre du réconfort, de la consolation et de l’assurance.
À la quatre-vingt-huitième seconde, une magnifique partition vocale fait son apparition : le roi passe la balle à l’un des chanteurs les plus langoureux de notre époque.
En ce qui concerne les instruments, deux sortes de guitares dirigent la chanson. Dans un premier temps, Olivier Tshimanga apaise et caresse les oreilles, étant le seul à posséder cette maîtrise, avant de passer la main à Popolipo qui, dans une seconde phase, convie les retardataires sur un accompagnement de piano à se joindre à la danse en hommage au patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
En ce qui concerne le clip vidéo, aucun commentaire ne pourrait égaler la combinaison de couleurs et de lumières présentée par Karmapa au public. Des costumes et des décors qui allient avec brio le vintage et la modernité captivent les regards avec l’une des créations qui dépeint un récit singulier, digne d’un beau conte aux pétales de rose. »
Tout est clair.
Pour ce qui est des autres titres, l’artiste assure le public qu’en accord avec le distributeur européen, ils seront diffusés progressivement chaque mois ou tous les deux mois, selon la situation, accompagnés de vidéos en haute définition, avant la sortie complète de l’album sur le marché. D’ici là, Karmapa s’engage à faire vibrer avant la fin de 2024 avec un son inédit.