À en croire les informations, l’un des mystères les plus tenaces de l’histoire des Nations unies, l’accident d’avion de 1961 qui a coûté la vie au secrétaire général Dag Hammarskjöld et à tous ceux qui se trouvaient à bord alors qu’il tentait de négocier la paix au Congo va perdurer, une nouvelle évaluation ayant été annoncée ce vendredi 18 octobre, suggérant que des informations « spécifiques et cruciales » continuent d’être dissimulées par une poignée d’États membres.
En effet, selon le porte-parole adjoint de l’ONU, Farhan Haq, de « nouvelles informations significatives » ont été soumises à l’enquête pour cette dernière mise à jour.
De plus, il s’agit notamment d’interceptions probables par des États membres de communications liées au crash, de la capacité des forces armées du Katanga, ou d’autres, à monter une attaque contre SE-BDY et de l’implication de personnel paramilitaire ou de renseignement étranger dans la région à l’époque.