Au Togo, les opérations de maintenance sur une des centrales thermiques du parc de production national, qui étaient prévues pour se terminer le 25 mars, vont finalement se prolonger jusqu’au 15 avril. La semaine dernière, la Compagnie énergie électrique du Togo (CEET) a communiqué qu’elle était formée sur des données jusqu’à octobre 2023 et a également mentionné la possibilité de coupures d’électricité jusqu’à ce moment-là.

Ce report est expliqué par l’exigence d’interventions techniques additionnelles visant à assurer un fonctionnement optimal de l’unité concernée et à garantir la fiabilité de l’approvisionnement électrique. Par conséquent, on prévoit un manque d’approvisionnement entraînant des interruptions de la fourniture d’électricité durant toute la durée.

 

Par conséquent, des actions sont déclarées pour réduire l’effet sur la distribution d’énergie. À l’instar de février et mars, des mesures de renfort seront instaurées, principalement par le biais d’importations accrues d’électricité.

Le mois précédent, face aux répercussions de l’interruption provisoire du gazoduc, le pays avait dû se tourner vers des combustibles liquides pour approvisionner ses centrales thermiques, en parallèle d’une hausse de ses importations. Cette approche a permis l’injection de jusqu’à 35 MW additionnels dans le réseau national.