Le patron de la junte guinéenne avait fait une promesse d’une gouvernance vertueuse. Mais force est de constater que trois années plus tard, seuls d’anciens dignitaires sont derrière les barreaux.

 

Par conséquent, les dossiers de plusieurs ministres et haut commis de l’État nommés depuis le début la transition et qui ont fait l’objet d’enquêtes pour corruption ont été classés sans suite.

 

À sa prise de fonction  le 5 septembre 2021, Mamadi Doumbouya annonçait avec autorité que la justice serait la boussole de la transition. Le 2 décembre suivant, il créait la Cour de répression des infractions économiques et financières (Crief). « Un double signal » envoyé aux Guinéens et aux partenaires étrangers pour leur signifier que « l’argent public ne sera[it] plus détourné

 

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