Avant tout propos, il faut dire que la discrimination est toute distinction opérée entre les personnes physiques à raison de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur grossesse, de leur apparence physique, de leur patronyme, de leur lieu de résidence, de leur état de santé, de leur handicap, de leurs caractéristiques génétiques, de leurs mœurs, de leur orientation ou identité sexuelle, de leur âge, de leurs opinions politiques, de leurs activités syndicales, de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, perte d’autonomie, vulnérabilité particulière résultant d’une situation économique, apparente ou connue.
En effet c’est autour de cette thématique que Bam TV a animé une conférence à Bruxelles dans la salle Rasquinet , rue Josaphat 109,1030 Schaerbeek ce samedi 26 octobre 2024 dans le but de lutter contre ce phénomène.
Il n’y a pas de races dans ce monde et on ne doit pas classer les gens à base de leurs couleurs de peau telle est l’idée centrale sur laquelle s’est tenue la conférence organisée en Belgique. L’important est d’en parler dès qu’on subi une discrimination peu importe le degré. C’est dans cette perspective que les intervenants se sont exprimés.
D’abord, Madame Annie Mokto a expliqué le problème avec des exemples concrets.
” il est clair qu’en tant que femme ou personne socio handicap, il est hyper compliqué d’accéder à un emploi pour la simple raison qu’il faut une adaptation du post de travail et pour la plupart des employeurs il pense que c’est contraignant, il pense qu’avec leur handicap on n’est pas productif mais la difficulté est aussi liée à la formation. Parce que déjà pour trouver un travail il faut pouvoir se former, étudier quand on a un handicap ça essaie de compliquer c’est compliqué d’avoir un suivi scolaire puis un emploi mais par contre mon message que j’ai à dire ici c’est que à travers une scolarité inclusive les enfants et les jeunes peuvent eu déjà acquérir l’essentiel acquérir le savoir et avec ce savoir là ça serait un motif pour pouvoir intégrer le monde de l’emploi.” A-t-elle déclaré.
Ensuite, Nina Donn O. Paintsil , coordinatrice d’un organisme socioprofessionnel dira pour sa part : ” alors j’ai adoré ce sont les questions qui me parlent tellement et un peu s’affilier avec ma formation et même dans ma vie quotidienne c’est des choses qu’on en parle souvent avec les apprenants et stagiaires. Je dirai qu’il y ait plus de projets de ce genre et que des personnes puissent avoir des partenariats pour pouvoir aller dans des écoles parce que c’est là qu’on peut trouver nos jeunes et parler de ça et parler de l’histoire que ce soit de la Belgique ou autre mais pour pouvoir déconstruire toutes ces questions.” A-t-elle déclaré.
Enfin, Joe Hess, modérateur de la conférence n’est pas du reste.
“je pense qu’aujourd’hui la discrimination reste un problème intergenerationel et je pense que les discriminations ont vécu à travers les différentes générations comme je le dis aujourd’hui, je suis né en Belgique mais mes parents sont arrivés à une certaine époque et ont connu aussi cette discrimination. Ils se sont adaptés et moi aussi je me retrouve papa et les enfants qui y sont et je pense que le plus important ou chose qui pourra permettre à ce que les choses aillent mieux c’est de le faire savoir et comme on l’a dit il faut parler” a-t-il lâché.