L’hiver s’annonce chaud.

 

La Russie a progressivement diminué ses livraisons de gaz à l’Europe. Aujourd’hui, Moscou ne représente plus qu’environ 10 % de l’approvisionnement en gaz du Vieux Continent.

 

Il faut chercher de nouvelles sources d’approvisionnement, le temps presse, l’offre ne pourra satisfaire la demande.

 

La Chine veut bien vendre ce qu’elle a acheté à la Russie à prix d’or. La Norvège disposé à produire d’avantage.

 

Les gouvernements européens n’excluent aucune piste y compris les délestages ou l’augmentation des prix.

 

Macron a prevenu en France les prix risquent d’augmenter.

 

Les mesures pouvant faire des économies d’énergies sont abondamment relayées et diffusées.

 

Une certaine panique s’empare des politiques.

 

Les 27 vont proposer un paquet de mesures et d’indication pour traverser l’hiver qui s’annonce un hiver chaud.

 

Les sanctions contre la Russie n’ont visiblement pas frappé la Russie. L’Europe accuse le coup.

 

Des délestages en plein hiver ou une augmentation des prix de 10% des prix du gaz ne vont pas se faire sans conséquences politiques et économiques.

 

De nombreux pays parlent du plafonnement des prix du gaz. Mais en cas de pénurie une telle mesure c’est zéro.

 

Kuissu Mepho Philippe Gérard
Cyberjournaliste
Consultant