Sheyi Adebayor : « Je ne peux plus mourir pauvre »
En dehors de ses prouesses sur les pelouses, l’ancien footballeur de renom semblait mener une vie à cent à l’heure. Alors que d’autres célébrités de football se déplacent en jet privé, l’ex-capitaine emblématique des Eperviers du Togo, dispose pour sa part d’un parking bien garni.
Une folie des grandeurs ? L’enfant prodige de Kodjoviakopé déballe tout sur sa vie et sa carrière.
Lors d’un entretien exclusif avec Philippe Simo dans l’émission « Investir au Pays », diffusée sur les réseaux sociaux, Emmanuel Adebayor a partagé des détails intimes et des réflexions profondes sur son parcours.
Et c’est le grand déballage : « de la pauvreté à la richesse et l’Impact sur les jeunes talents », « sortir sa famille de la pauvreté : une motivation Inébranlable », « la chance et le soutien divin », « la richesse au-delà de l’argent », « investir dans l’avenir : soutenir les jeunes talents »…
S’il a l’habitude de partager les photos de ses bolides de luxe sur son compte Instagram, dans l’entretien dont l’extrait reste disponible sur la page officielle Facebook de « Investir au pays », l’ancien attaquant de Manchester City, de Tottenham et du Real Madrid, a dévoilé une histoire croustillante qui se cache dernière l’achat impulsif de voitures.
Mais aussi, les leçons qu’il en a tirées.
ll raconte qu’un jour, il est entré dans trois magasins différents et a acheté quatre voitures neuves en une seule journée.
« J’ai acheté une Bentley Continental décapotable pour 165 000 livres sterling (191 000 € soit 125 229 500 FCFA), que j’ai ensuite fait tuner pour un coût supplémentaire d’environ 200 000 livres (231 000 € soit 151 515 000 FCFA). Quelques minutes après, je me suis rendu chez Mercedes et a acheté un ML 63 AMG pour environ 110 000 livres (127 000 € soit 83 334 500 FCFA). Puis, j’ai acheté une Chrysler pour 55 000 livres (63 500 € soit 41 683 000 FCFA), Et enfin, vers la soirée de la même journée, j’ai acheté une Playmouth »
Ces expériences lui ont permis de mieux gérer ses finances et de conseiller les jeunes joueurs sur l’importance de la prudence financière.
« Ma condition de vie est un peu meilleure par rapport à celle de mes frères togolais, car je peux me payer des voitures que je veux. Je mange ce que je veux, je bois ce que j’ai envie de boire, je fais ce que j’ai envie de faire…Je ne sais même pas combien j’ai sur mes comptes. Je ne peux plus mourir pauvre. Et c’est une certitude. Même si je meurs, il y aura toujours un franc sur mes comptes bancaires, car j’en ai un peu partout »
A noter que la version intégrale de l’interview sera disponible samedi 18 mai 2024 à 13h GMT.
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