Les portes se sont refermées dimanche 6 août sur les neuvièmes Jeux de la Francophonie, à Kinshasa en RDC, dans une ambiance festive.

Ceci, après neuf jours de compétitions sportives et culturelles.

Après des incertitudes autour de la capacité pour le pays à accueillir cette édition, les autorités congolaises se félicitent d’avoir relevé un immense défi.

Du stade Tata-Raphaël complétement rénové aux gymnases construits, des centres sportifs aux lieux d’hébergement... Jamais la RDC n’avait autant investi dans des infrastructures sportives depuis son indépendance.

Apres deux reports, le défi a été relevé par les autorités. Le président Félix Tshisekedi a affirmé, lors de la cérémonie de clôture, que cette édition restera « gravée dans la mémoire collective des Congolais et sera inscrite dans les annales comme un événement historique ayant contribué significativement à cimenter » l’appartenance du pays à la francophonie.

A l'heure du bilan, le gouvernement évite tout de même de communiquer sur les fonds décaissés pour ces Jeux, qui ont également été un tremplin pour des affiches de propagande en faveur du président Félix Tshisekedi.

A rappeler que dès l’ouverture des Jeux, l’opposant Martin Fayulu a vu sa marche de protestation interdite par les autorités le 28 juillet.

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